Mexico, 9:48, un “ciber” où j’ai pris possession de l’ordinateur numéro 4, le ventilateur brasse de l’air au-dessus de moi et du monde s’active tout autour – les mots fusent en espagnol. C’est l’Amérique Latine, on parle vite, on parle fort, les sourires et la bonne humeur ne font pas défaut. Ce voyage ne ressemble que très peu à mon précédent et la force qui me poussa en avant, cette fois, fut plutôt négative.