Après avoir avalé plus de milles kilomètres de montagnes russes sur l’île de Sumatra, je décidai que j’en avais assez vu et qu’un bout de route en bus ne serait pas une mauvaise idée. Il faut dire que Sumatra c’est pas le paradis du cycliste surtout quand le mercure pointe à 35. D’aventure en aventure, j’avais tout de même dormi chez l’habitant, très pauvre, trop pauvre en comparaison, si pauvre que nos maisons me font un peu honte face a ce que l’on découvre en entrant chez les locaux d’un village de Sumatra.