Mary est repartie à Téhéran. Aslan, que j’ai laissé à Tabriz depuis bien longtemps, a sûrement repris le cours de sa vie. Le plat de fruits que j’ai déniché au bazaar en guise de reconnaissance pour tout ce que Mahsa a fait pour moi a peut-être joué son double rôle de souvenir… depuis le temps, qui sait. Et Farrin regarde probablement les étoiles dans le ciel d’Iran en pensant à ce Petit Prince qui, voyageant autour du monde, va découvrir de nombreuses planètes peuplées d’hommes si différents et pourtant si semblables.